Les français choisissent un larbin de Rothschild


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Un pion de Rothschild semble prêt à devenir le prochain président de la France.
Les Français font le choix du suicide national. Le «terrorisme» ne semble même pas les affecter. Rothschild continuera à Gouverner à travers ses marionnettes.


(Macron a épousé sa professeur de lycée, son aînée de 24 ans, victime d’un lifting malheureux. Elle a maintenant 63 ans. Des rumeurs prétendent qu’il serait en fait homosexuel)

Emmanuel Macron est un financier photogénique de 39 ans à la carrière étonnante. Il est devenu le chef de file de la présidentielle en France avec 23,8% des voix, suivi de Marine Le Pen avec 21,7%. Selon les sondages d’opinion, il remportera le deuxième tour contre Marine Le Pen, avec environ 66 pour cent des voix.

Emmanuel Macron n’a aucune expérience politique réelle. Il n’a jamais été élu nulle part auparavant …. Il n’est qu’un banquier d’investissement spécialisé dans les fusions et acquisitions ayant bien réussi sa carrière. Il est diplômé de l’ENA, une université de premier plan pour l’élite française. Il a travaillé pendant plusieurs années au ministère de l’Économie et des finances. Ensuite, en 2007, une année cruciale dans son parcours, l’économiste prometteur de 29 ans a été pris en main par Jacques Attali, un des lèche-botte de Rothschild.

Jacques Attali  est un philosophe-mondialiste, un écrivain d’utopies multiculturelles anticipant l’heure où toutes les nations et tous les états disparaîtront de la terre suite à des conflits sanglants pour que les survivants de l’humanité se réunissent sous la bannière de la démocratie et sous le contrôle d’un gouvernement mondial. Pendant de nombreuses années, Attali disposait de ses entrées à l’Élysée et a été l’un des conseillers les plus influents de plusieurs générations de présidents français, de François Mitterrand à François Hollande. Les médias locaux, le désignant comme « le vrai président de la France », exagèrent à peine.

C’est Jacques Attali qui a créé le lien entre le capital financier et l’élite du Parti socialiste au pouvoir, qu’il soutient. Il est exceptionnel dans sa capacité à envelopper habilement les plans prédateurs des banquiers dans de beaux slogans de gauche.

IMMIGRATION = BAISSE DU COUT DU TRAVAIL

En 2008, la Commission Attali a présenté au président Nicolas Sarkozy « 300 propositions pour changer la France » – un plan de modernisation de l’économie destiné à la sauver de longues années de stagnation. L’idée principale peut être formulée comme suit : pour éviter de perdre sa compétitivité sur le marché mondial, le pays doit réduire considérablement le coût du travail. Une façon de le faire est d’accroitre l’immigration en France ; les immigrés récents peu rémunérés, qui ne pourront pas s’organiser en syndicats, remplacent les travailleurs enracinés au sein du secteur primaire et secondaire. En outre, le plan prévoit une réduction considérable des dépenses publiques en matière de santé, d’éducation et de retraite. Sarkozy n’a pas osé accepter ce plan radical.



à gauche, le « vrai » président de la France, le banquier Juif kabbaliste Jacques Attali
Pendant son séjour à la Commission, Macron a réussi à gagner la sympathie d’Attali, qui l’a bientôt présenté à son ami François Enron. Enron, à son tour, est le meilleur ami et partenaire principal de David de Rothschild. En 2008, Macron a été embauché par la Banque Rothschild, où il est passé d’analyste à associé-gérant. Ses commissions dépassaient plus d’un million d’euros par an.

La plus importante contribution de Macron a été son intervention dans l’achat par Nestlé de la division des aliments pour bébés de Pfizer aux États-Unis (pour 11,85 milliards de dollars). À cette époque, Matthieu Pigasse, directeur de la branche française de la banque Lazard Frères, souhaitait faciliter la transaction pour son client, Danone, mais a échoué. Alors Macron trouva en Matthieu Pigasse son plus grand ennemi.

En 2010, Pigasse qui est un banquier de gauche et un ami et patron des socialistes français, avait prévu de devenir conseiller économique de François Hollande mais l’omniprésent Jacques Attali a recommandé Emmanuel Macron à Hollande. Pendant plusieurs années, Macron, parfaitement bilingue en anglais et en allemand, était la liaison entre l’élite socialiste de la France et les milieux financiers étrangers. Comme l’a noté malicieusement le Guardian, tandis que Hollande criait à des rassemblements : « Mon ennemi principal est la finance ! » Macron, l’employé de Rothschild, s’envolait à la City pour rassurer les banquiers ; leur confirmant que sous le mandat du président Hollande, tout continuerait comme avant.

En 2012, Hollande est devenu président et Macron a quitté la maison Rothschild. Il a été nommé secrétaire général adjoint de l’Élysée. En 2014, dans son poste de « jeune réformateur », il a dirigé le ministère de l’Économie et de l’Industrie (prenant la place de l’ami et partenaire commercial de longue date de Pigasse, Arnaud Montebourg). Hollande lui donne carte blanche pour des activités liées à la modernisation de l’économie et Macron présente un projet de loi avec plus de 300 sections, prévoyant la libéralisation du marché français. Les experts disent que la loi Macron incarne toutes les idées de la commission Attali. Y sont intégrés et encouragés : l’immigration, la réduction des effectifs, la concurrence accrue au sein de tous les corps de métier, une augmentation de la journée de travail au détriment des dimanches et des heures de nuit.

Les travailleurs en France n’ont pas approuvé ce projet de loi. Sa discussion a été accompagnée de manifestations massives. Il n’y avait aucune chance de faire passer la loi au parlement. Hollande a ensuite exercé son droit de forcer l’adoption de certaines lois sans l’approbation du Parlement et, en août 2015, a fait approuver la « Loi Macron ». De manière significative, avant de devenir président, Hollande critiquait vertement ce projet de loi, le qualifiant même de « fasciste ».

L’INGÉNIERIE POLITIQUE DU POUVOIR DE L’OMBRE

En 2016, lorsque la cote de popularité de Hollande était honteusement faible, quelque chose d’inhabituel a commencé à se produire autour d’Emmanuel Macron. Ainsi, surgit de sur nulle part, un mouvement, « Les jeunes avec Macron » est apparu. Il est difficile d’imaginer que des jeunes s’agrègent spontanément autour d’un ministre de l’économie aussi impopulaire dans un pays à l’économie exsangue. Cependant, plusieurs milliers de personnes ont participé au nouveau mouvement. Macron a fondé son propre parti le dotant d’un nom vague « En marche ! ». Des meeting ont commencé à rassembler d’énormes foules et ce à un moment où les socialistes ne parvenaient qu’à grand-peine à réunir que quelques centaines de personnes à leurs événements. Le programme de Macron n’était pas encore clair. Condamnant les attentats terroristes, il n’a cependant pas l’intention de fermer les frontières ou de restreindre l’immigration ; Promettant d’augmenter les dépenses militaires du pays, il ne l’éloigne pas pour autant de l’OTAN.

En fait, Macron reste le même mondialiste, un élève exemplaire de Jacques Attali, mettant l’accent sur les slogans de l’unité européenne. Il critique à la fois la gauche et la droite, essayant de distraire les électeurs qui votent traditionnellement pour les socialistes et aussi d’attirer ceux pour qui le Front national de Marine Le Pen est trop radical. Avec son apparition soudaine en politique, Macron a obtenu un taux incroyable. Les journalistes le portent littéralement à bout de bras. Les magazines féminins le qualifient de nouveau sex-symbol et de rêve pour toute femme française. Des journaux influents soulignent les avantages de sa position centriste. Les sociologues prédisent sa victoire. Et personne ne révèle quoi que ce soit de sérieux permettant de le discréditer. En janvier, lorsque certaines critiques ont miné les chances de ses principaux concurrents, Marine Le Pen et Francois Fillon, Macron est resté éloigné de tous scandales.


Le prochain « couple » présidentiel

VIE PRIVÉE

La vie privée de Macron – un sujet potentiellement « mortel » pour un politicien français – peut sembler paradoxale, mais les médias l’ont dépeinte sous un jour purement romantique. Le fait est que la femme du favori de la course présidentielle (Brigitte Trogneux) est plus âgée que lui de 24 ans. En 2007, le jour de son mariage, il avait 29 ans et elle en avait 53 ans. Macron a déclaré aux journalistes qu’il était tombé amoureux de sa future femme à l’âge de 15 ans, alors qu’elle enseignait le français dans son école. Pendant ce temps, il est sortit diplômé du lycée et de l’université, a parcouru le monde, a construit une carrière, mais pendant ces 14 ans, il est resté fidèle à son premier amour.

Malgré son invraisemblance, l’histoire est validée par tous les journalistes. Des photos de Macron main dans la main avec sa femme, ou de Macron avec une bouteille de nourriture pour bébé, en train de donner le biberon à ses petits-enfants ont été publiées par tous les journaux du pays. Les magazines de mode ont catapulté sa femme au rang « d’icône du style ». En termes d’ingénierie politique, cela s’est révélé payant : la France vieillit et l’électorat des femmes à la retraite est important. Pour elles, il existe une abondance de films dans lesquels de beaux jeunes hommes tombent amoureux d’une vieille dame. L’idylle familiale de Macron est conçue et projetée pour elles. Il est également vrai que les tabloïds répètent périodiquement des rumeurs selon lesquelles l’amant de Macron serait le président de Radio France, Matthieu Galle, mais il n’existe aucune preuve.

Source : https://henrymakow.wordpress.com

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